Invisibles, inodores, silencieuses, les ondes artificielles sont bien réelles, elles existent depuis l’invention de la fée électricité. De plus en plus omniprésentes, elles prolifèrent, dans nos maisons, sur notre lieu de travail, dans notre environnement, et même dans les endroits isolés.
Les activités humaines, notamment la transmission d’informations (par téléphone, Internet, radio), émettent massivement des rayonnements non naturels.
Ces ondes électromagnétiques ont été développées de manière exponentielle ces trente dernières années, de telle façon qu’il est difficile aujourd’hui de s’en mettre à l’abri.
Ces nouvelles fréquences s’imposent désormais à nous. A la surexposition à laquelle nous sommes soumis s’ajoute l’effet cocktail de leurs coexistences : antenne relais de téléphonie mobile, réseau wi-fi de notre voisin de palier, son propre téléphone mobile, les objets connectés, le baby-phone de notre enfant, la plaque de cuisson de la cuisine ou bien une simple prise ou lampe de chevet dans la chambre.

Face à cette surexposition de plus en plus de personnes développent une hyper sensibilité pouvant se manifester par les symptômes suivants: : troubles dermatologiques (rougeurs, picotements, sensations de brûlure…), neurasthéniques (fatigue, troubles du sommeil, difficultés de concentration…) et neurovégétatifs (vertiges, palpitations cardiaques …).. Classées potentiellement cancérogènes pour l’homme par l’OMS en mai 2011, de nombreuses études montrent que l’exposition excessive aux ondes pourrait être responsable de leucémies ou de cancer du cerveau.

Aujourd’hui, certains pays reconnaissent l’électro-sensibilité comme une maladie (personne Electro Hyper Sensible -EHS) et un handicap : Angleterre, Autriche, Allemagne, Suède… mais pas encore la France